Bilan de la législature provinciale 2012-2018: Une législature pour rien … ou presque

Publié le 25 juin 2018
Rédigé par 
Antoire Mariage

Le Conseil provincial n’a pas attendu une hypothétique réforme/suppression des provinces pour s’éteindre. Entre 2012 et 2018, il n’a connu aucun débat majeur. La Majorité MR-cdH a réagi aux contraintes externes et aux soubresauts internes. Elle a beaucoup construit pour elle-même et a fort endetté l’institution. Au-delà de cela, l’électrocardiogramme est resté plat.

Ecolo, dans l’opposition, a été le défibrillateur du Conseil provincial.

En 2012, le groupe Ecolo (4 conseillers sur 37) s’est donné 5 lignes de conduites :

◦ Atteindre l’équilibre financier (charge de l’endettement >< capacité à financer les services)
◦ Améliorer la gouvernance : réguler les subventions et limiter l’auto-promotion
◦ Créer une institution exemplaire matière environnementale notamment
◦ Privilégier une vision de développement territorial (services accessibles partout)
◦ Renforcer une supra communalité effective et complémentaire

En cours de route, le groupe Ecolo a été l’animateur du Conseil provincial et l’aiguillon du Collège, par ses nombreuses intervention sur les dossiers mais également via :
• 21 Questions orales
• 4 Questions écrites
• 3 Motions
• Une trentaine d’amendements budgétaires

Pour lire l’intégralité du bilan préparé par les conseillers provinciaux Ecolo, cliquez sur ce lien 20180622 CP Groupe provincial Ecolo Namur – bilan législature 2018-2024.